Tous les articles par Claude Ledron

ANBABWA ARTS à Sainte-Anne le 22 mai

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L’équipe d’Anbabwa Arts.
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Art et politique, que l’action redevienne sœur du rêve

https://www.monde-diplomatique.fr/2013/07/PIEILLER/49338

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Le colonialisme oublié

De la zone grise plantationnaire aux élites mulâtres à la Martinique.

Le colonialisme oublié

Patrick Bruneteaux
324 pages 14 x 22 / 24€

mai 2013

Éditions du Croquant, Collection TERRA
ISBN : 9782365120272

Patrick Bruneteaux est chercheur CNRS au Centre de recherches politiques de la Sorbonne. Il a récemment publié Devenir un dieu. Le nazisme comme religion politique. Eléments pour une théorie du dédoublement, Publibook, collection « Université », Paris, 2004, La rue : des rêves à la réalité, Éditions le Temps des Cerises, Paris, 2004.

Rapporter ce constat, mille fois avéré par la littérature comme par les chercheurs, d’un mal-être fondamental des Antillais colonisés ne signifie pas ressusciter une fois de plus les recherches affirmant les multiples dépendances à l’égard de la métropole (colons/-colonisés) ou les effets persistants du racisme dans toutes ses dimensions (Blancs/Noirs). Cet ouvrage entend exhumer une réalité taboue au travers d’une fonction sociale intermédiaire : le rôle des Noirs eux-mêmes dans le maintien de l’ordre esclavagiste et colonial ; ainsi que les circuits sociaux de la reproduction de cette « zone grise » jusqu’à aujourd’hui. D’où le fil directeur de cet ouvrage fondé sur la notion de tripartition : partir des structures socio-raciales de l’Ancien Monde (békés/mulâtres/nègres), et plus particulièrement des rapports de force physiques entre colons, serviteurs et colonisés, pour suivre les transformations progressives de cet ordre relationnel jusqu’à aujourd’hui. Grâce à l’étude fine des représentations des acteurs et notamment des musées, il est possible de lire très distinctement ces jeux d’obédience à l’ordre néo-colonial français : derrière le bruit d’un discours identitaire écran, on repère le travail persistant des mulâtres destiné à dissoudre les traces de leurs actions passées, à brouiller les jeux d’alliances entre élites issues du système colonial, et à légitimer leur pouvoir actuel ainsi que leur prétention à parler au nom du peuple noir.

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LE LASOTE

Photo Hélène Clément. Les maîtres-tambours donnent la cadence pour le lasotè : un rythme pour labourer la terre de bas en haut, un autre pour le billonnage. Tout en haut : les agriculteurs de Fonds-Saint-Denis, en Martinique.
Photo Hélène Clément.

La tradition a du bon. Les maîtres-tambours donnent la cadence pour le lasotè : un rythme pour labourer la terre de bas en haut, un autre pour le billonnage. Les agriculteurs de Fonds-Saint-Denis, une petite commune située au nord de la Martinique, le savent. Depuis une dizaine d’années, ces hommes du terroir pratiquent à nouveau l’art du lasotè comme il se faisait il y a 150 ans dans les hauteurs des mornes.

C’était pour se donner du courage au moment de labourer leurs champs que les paysans avaient recours à des coups de main, ou lasotè en créole. Ainsi, au lieu de travailler des jours durant un seul hectare de terre, ces hommes réalisaient la tâche en quelques heures seulement.

« Nos objectifs ? Encourager les agriculteurs à reprendre la houe et sensibiliser les Martiniquais à cette pratique créée par les « nouveaux libres » après l’abolition de l’esclavage », explique Étienne Jean-Baptiste, membre de l’association l’Esprit lasotè de Fonds-Saint-Denis.

Imaginons une vingtaine de paysans à une extrémité d’un champ, les uns à côté des autres, houe à la main.

À l’autre extrémité, les maîtres-tambours qui donnent la cadence : un rythme pour labourer la terre de bas en haut, un autre pour le billonnage.

Trois crieurs lancent les couplets, trois joueurs de ti bwa (baguettes) s’exécutent sur une canne de bambou, d’autres soufflent dans des conques de lambis. Et ensemble, les agriculteurs labourent à tour de bras la terre au rythme des mots « Lèvè ! Fèssè ».

Né au XIXe siècle — et tombé dans l’oubli en 1960, lors de l’exode rural —, le lasotè a refait surface à la fin des années 1990, au moment de la crise du chlordécone, un pesticide organochloré nuisible à la santé mais utilisé jusqu’en 1993 dans les plantations de bananes. « Puis, la grève de 2009 a bousculé les choses, précise Étienne Jean-Baptiste. Avec les supermarchés vides, les gens ont réalisé qu’ils étaient trop dépendants de l’importation et qu’il fallait manger local. »

Cette pratique ancestrale qui met l’accent sur la solidarité a lieu une fois par mois, le samedi. Un lasotè est toujours accompagné d’un petit marché paysan.

Information: lamartinique.ca.

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ANBABWA ARTS au Lycée Acajou 2

Le vendredi 15 janvier 2016, au Lycée Acajou 2, ANBABWA ARTS a participé à une manifestation culturelle initiée par la proviseure, Mme Hardy-Dessources. Ci-dessous quelques images -de quelques œuvres exposées et de l’assistance- glanées au cours de cette journée.

Ancêtres_Manfred
ANCÊTRES Manfred Etilé.
Dancer_Ori
DANCER Ori
Equipe Anbabwa
L’équipe d’ANBABWA ARTS
Galet
Galet-carte-de-visite
Guetteur_Ori
GUETTEUR Ori
I and I
I AND I Annick Bourdon
Le public 2
Quelques visiteuses
Lecture poème
Déclamation de poème.
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VIRVOLAN Manfred Etilé.
Présentoir porte clefs
Vue sur les porte-clefs d’Henry
Masque Warani
MASS Warani

Le public Présentoir 2 Présentoir 3 Présentoir

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carte de voeux ANBABWA

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ANBABWA ARTS à la librairie PRESENCEKREOL.

Depuis le 7 décembre 2015, ANBABWA ARTS dispose d’un espace d’exposition à la librairie PRESENCEKREOL, 40 rue Antoine Siger à Fort de France (près de la cathédrale).

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L’entrée de la librairie PRESENCEKREOL.
Oeuvres picturales.
Quelques œuvres picturales exposées.
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Œuvres du pôle « Arts plastiques ».
Notre collection de porte-clefs en bois.
Œuvres du pôle « Design » : notre collection de porte-clefs en bois.
Voiles et tuiles
Œuvres des pôles « Arts plastiques » et « Design » : voiles et tuiles

Autres œuvres picturales.

Œuvre du pôle "Design".
Œuvre du pôle « Design » : boites et pots.
Cartes postales et CD audios.
Œuvres du pôle « Editions multimédia » : cartes postales artistiques et CD audios.
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ANBABWA ARTS expose à la galerie OZ’ART à Sainte-Anne.

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Vue de l’intérieur de la galerie.
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Henry avec quelques unes des œuvres des plasticiens d’ANBABWA ARTS
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Henry devant une des « voiles » d’ANBABWA ARTS
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Henry en visite de la galerie OZ’ART

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Wouspel natals. Extrait de l’album NATALS, une production ANBABWA ARTS

https://www.facebook.com/100005056006721/videos/518233948355134/

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Nos dernières créations de bijoux : boucles d’oreilles

 

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